Background Anarkan

Anarkan est un éladrin de 154 ans, il mesure 1m75 pour 70kg. Il est toujours vétu d'une toge blancheet bleu et porte une barbe taillé en pointe ce qui en fait une disparité par rapport à son origine féerique, ceci est en fait le stigmate laissé par l'empreinte de la magie.
Issue de l'union de deux parents appartenant à l'académie des magiciens de Feenris la cité des mages éladrins, véritable université il reçut l'éducation de l'école de la foudre. Aujourd'hui encore ces deux parents vivent et il à aussi une soeur qui poursuit ces études au monastere de Boccob. Il entretient de très bonne relation avec sa famille et à du partir car un jour au cours de ces études il fut envoyer au village de Féelin, village éladrin situé au bord d'un falèse. Malheureusement pour l'école un phénomène creusa la falèse créant un problème qui allait détruire la ville, seule l'intervention de l'archimage locale (et sa mort) recula l'inévitable. D'après le second magistère seule la création d'un rituel permettra la sauvegarde de la ville qui contient un monument introsportable dont seul une poignée d'éladrins connaissent son contenu.
Avec 3 autres mages, anarkan fut envoyer sur les routes pour rechercher le rituel qui pourrait aider à la sauvegarde de la ville. Un mage par école (Feu, Eau, Air (moi), Terre), et voilà le début de son histoire.

Ce n'est qu'à la vue des nouveaux évènements que anarkan plongea dans son passé lui qui en avait tant fait pour le faire disparaitre de son esprit.

Tout commença il ya 250 ans à Myth Dranor. Forterresse de merveille et coeur des éladrins. Mais tel le coeur des fées eux meme le rêve c'était peu à peu déchiré voila 2000 ans que la cité était en perte de vitesse, ces habitants n'arrivant plus à lui redonner la superbe de son temps passé.

Comme je le disais je naquis au temple de Yun de Myth Dranor, en cette année du souffle. En effet le seigneur du temple de Myth Dranor venait d'apprendre la découverte d'un mystérieux artefact d'une puissance considérable par un sorcier explorateur venant du Cormyr. L'individu aurait été apperçut à seulement quelques kilomètres de la cité déterrant un paquet de cartes d'où émanait une magie considérable.

Les dispositions furent prises et des quatres collèges de magie, et des quatres académies de combat des quatres éléments, les 8 meilleurs éladrins furent dépéchés pour récupérer l'objet, le seigneur de la ville semblant comme traumatisé de cette découverte.

Les choses s'enchainerent très vite l'humain fut vite retrouvé et apréhender mais ce dont personne ne pouvait se douter était la puissance monumentale qu'il manifesta tuant le chevalier des masses de l'école de l'eau d'un sortilège encore inconnue. L'homme s'échappa à travers un portail sortit de nulle part. Pendant près de 30 ans les hommes du seigneur poursuivirent le mortel à travers 4 dimensions risquant leur vie chaque jusqu'au jour ou les quatres derniers survivants 1 mage de l'air et 3 chevaliers parvinrent à attirer l'humain dans un piège.
Le mage eladrin incanta son sort et le mage humain fut litteralement aspirer et réduit en poussière arcanique par la puissance du sort, tuant accidetelement la mort de 2 chevaliers et laissant le dernier grandement bléssé.

Les hommes revinrent les choses avaient bien changer. Anarkan avait grandit entouré de son frère Loktar et de sa soeur Iriana comme lui ils furent élevé dans la tradition, mon frère étant envoyer au temple de Yun pour apprendre sagesse et maitrise de soi, ma soeur confié à l'école de la magie d'eau et moi même confié à l'académie de l'air.

le mage eladrin qui en était revenu était mon père, un mage éminent et qui apres tant d'année de balade interplanaire s'était forger une solide réputation de magicien.
Alors que je commençais à maitriser mes premiers pouvoirs mon père me convoqua dans son bureau.

Fils, j'ai appris tes progrès tu te défend bien dommage, que tu n'ai pas le talent naturel que possède ta soeur et ton frère. Enfin bon tout le monde ne peut pas être parfais, tu fais ce que tu peux.

Anarkan tenta de répondre mais fut réduit au silence d'un regard aussi sombre que l'abime.

Vois tu mon fils je crains que jamais je ne serais fier de ton ascension tu as ... 32 ans et tu n'ai qu'à peine capable de faire naitre une etincelle de lumière fragile. Ta soeur peut déjà matérialiser du feu sous toutes ces formes, moduler l'eau, sentir la pluie et ton frère soigner les plaies légères, et ressentir les émotions.
Son père fit silence.

Tu es la représentation de notre déchéance anarkan, une disjonction du pouvoir naturelle. Viens avec moi je vais te montrer.

Son père se lève et d'un claquement de doigt il sent une force qui le traine à la suite de son père. Il pénètre dans une pièce qui n'était pas là quelques instants plus tot. Il montre à anarkan une boite qu'il ouvre.

Vois tu ceci mon fils as tu déjà entendu parler de la boite de pandore, et du secret de l'éxistance. Et bien ceci ...

Dit il tout en montrant le paquet de carte

Est la clef des mystères de l'univers, à la fois sans intéret et terriblement dangereux. Notre peuple se meurt en 2000 ans il nait seulement moitié moins de jeteur de sort qu'avant. Ceux qui naissent sont trois fois moins fort et sage, pourquoi ... parce que nous les avons les laisser devenir faible.

Puis sans rien dire, il aggripa une baguette sur la table et regarda son fils en silence.

Vois tu fils je savais que j'avais fait une erreur en te choisissant en 2° un fils, car je l'ai choisit. Le pouvoir ne se transmet qu'a intermitence si 2 garcons ou filles naissent consécutivement il sera dénué de pouvoir. Alors pour rattraper mon erreur je vais t'enlever toute trace de magie et le donner à ta soeur. Ca ne sera pas sans douleur mais ainsi ta lignée vivra, et ta race retrouvera un peu de sa grandeur. Les fautes d'un père ne doivent pas détruire sa famille, tu seras le sang que je sacrifierais pour mon sang. Approche fils tu ne sentiras ... presque ... rien.

Anarkan était térroriser les sorts de son père était trop puissant.

Tout à coup son père commença à incanter et un éclair rougeatre frappa anarkan, il s'évanouit et alors qu'il se reveillait dans son dortoir de l'école il sut que tous ses pouvoirs l'avaient définitivement quitter. Etrangement pendant les semaines qui suivirent son père ne lui parla plus de l'évenment faisant comme si rien ne s'était passer, et sa soeur se mit à faire des progrès fulgurant.

Anarkan n'appris que plusieurs années plus tard qu'il ne du sa survie qu'à l'intervention innopinée de sa soeur et de sa mère qui stoppèrent mon père. Mais le mal était fait.

Anarkan dénué de magie était devenue le collibet de sa classe, et ne faisait que rire. Mais alors que les autres s'amusaient entre les cours, anarkan lui étudiait dévellopant les maigres capacités qui lui restait après 5 ans d'école il fit renaitre sa première flamme, puis 2 mois plus tard sa première boule de feu. Il tut ses propres talents jusqu'à que sa mère le retire de l'école pour effectuer le metier de calligraphe, dans lequel il excellait. Mais la nuit après sont ravail il s'échinait à developper ces talents. Il n'en voulait à personne mais la rage pour son père était palpable.


Durant des mois et meme des années, temps qui n'a aucune valeur pour anarkan du a son immortalité et l'immuabilité de son corps, il étudia inlassablement.
Le jour de son 151° anniversaire, il était redevenu un mage a part entière. Cela faisait des mois qu'il se retrouvait dans la foret à parler aux vents seuls, il croyait meme les entendre lui répondre. Un jour il crut meme voir une forme brumeuse lui apparaitre lui revelant un secret obscur qui pouvait tout expliquer mais il n'était pas encore temps.
Pas encore temps, seul l'aventure pourrait lui dire si il s'était tromper.

Pendant ces années détude mon père fit construire une pyramide ou il enterra l'artefact à la bordure d'une colline. Colline qui s'éroda par le temps et par la volonté d'une secte qui sommeillait dans les territoires du Cormyr, les apotres de la carte. Une secte d'humain crée par le mage ayant découvert les cartes. Sachant la pyramide trop bien garder, ils décidèrent de détruire la pyramide morceau par morceau avant de la précipiter dans le vide. Ils faillirent réussir et seul l'intervention tardive de mon père sauva l'affaire. Désormais mon père s'est reclut magiquement pour permettre à la pyramide de continuer à flotter partiellement.

Déléguer par le conservatoire de magie et sa toute puissante seigneurie de Myth Dranor les mages débuttant furent charger d'aller collecter tous les rituels du monde pour permettre de téléporter ou sauver la pyramide. Le seigneur de Myth Dranor vint nous voir en personne:

Toi anarkan, toi Fael, toi Mylanda, toi enaliel je vous remet la charge de votre peuple, tous y compris vos familles comptent sur vous.

Puis il prit anarkan à part

Tu sais anarkan j'ai beaucoup de mérite pour ton père, un grand mage pour sur. Sache que ta présence dans cette mission n'est que pur incidence politique, ton père c'est meme opposé à te confier cette mission et sans les illusions de certains conseillet on ne confierait pas une telle mission à un bègue dénué de puissance magique. Alors esseye de ne pas faire pire que ce à quoi je m'attend.

Sur ce je fut conjédier. Pour la première fois j'étais humilié, bafoué, trahit par la personne meme qui devait etre mon héros mon roi. La rage me prit et alors une nouvelle énergie coula en moi pas celle de la magie non celle de la vie, celle qui fait bouger le corps, et fait se developper l'esprit.

Voilà comment anarkan quitta son peuple, enfin libérer de l'étreinte du passé, ne gardant que pour souvenir l'image de sa mère, de son frère et de sa soeur à jamais dans son coeur.

Tramar gisait sur son lit de mort, l'homme rentra dans la pièce une aura de peur l'entourrait telle une cape magnifique au motif onirique.
Tramar bougea doucement le bras, vers le morceau d'argent en forme d'oeil qui tronait sur sa table de chevet, mais sa vie s'écoulait sans qu'il ne puisse l'arrêter.
L'inconnu s'assit face à lui

Alors Tramar, du moins Mayana comme je devrais t'appeler. Malgré sept éons je te retrouve encore une fois, tu es maligne tu as réussit à percer les capteurs, mais jamais tu ne mettras au courant le tout puissant.

Tramar continua de tendre le bras et au moment ou il allait saisir l'objet, l'inconnu fit un geste de la main ejectant tramar hors de son lit, le plaquant contre le mur.

L'inconnu le regarda souriant,

C'est moi qui es le pouvoir Mayana, toi et ta théorie des Métacomposants, êtes ridicule. Ces patétiques humains n'ont pas le droit au pouvoir de quel droit changerais tu cela.

Un vent mystique emprunt de magie arcanique frappa au visage. Tramar regarda ses mains et son visage ensanglanté.

Tu as cru que tes minables machination avec Yashim l'archonte des brumes pouvaient changer quelques choses à la nature du pouvoir, je ne te laisserais pas apprendre ces choses aux mortels. Et sache que moi et certains autres ont tiré le rideau des dévas vers les ténèbres, et vous avez raison de nous craindre.
Vois tu mes études m'ont enseigné un ancien rituel et tu vas payer le prix de 3 réincarnations dans un arbre d'un marécage.

L'homme partit d'un rire sinistre, montrant à Tramar un déva d'âge avancé aux pupilles nimbées de ténèbres et d'éclairs.
Tramar, hurla le cri devint alors féminin, alors que l'apotre des ténèbres arrachaient son arme de son corps.
Le cri finit par s'éteindre laissant du corps une enveloppe vide.








La femme déambulait dans le marécage des souvenirs oubliés loin au sud des cavernes de l'outreterre. Elle s'arreta devant un arbre à l'allure ténébreuse. Elle toucha l'arbre sentant la sève et la conscience du passé s'éveillé.
L'arbre se mit à luir puis se transforma pour laisser tomber à terre une déva d'âge mur morte.

Te voilà enfin, délivré, que les brumes guident enfin ton âme vers les bibliothèques de Ioun.







Mayana déambullait dans cette cité elfique, Myth dranor comme les éladrins l'appelaient. Sa mission était clair, il devait enseigné ce qu'elle avait découverte. Et l'archimage éladrin de la ville, était quelqu'un de confiance, qui l'avait invité à le rejoindre pour montrer ses travaux et proposer à son tour des points de vue métaphysique et mystique des plus interressants. La chose fut entendu et l'homme l'acceuillit en pur gentleman, ce qui aurait du durer seulement quelques semaines, dura en réalité quatre ans, pendant lesquelles les deux êtres immortelles s'éprirent l'un de l'autre.
Un jour mayana se rendit compte du mal qu'elle avait occasionné dans le coeur de la femme de ce mage, et elle ne put s'y résoudre elle utilisa donc un rituel pour effacer cette partie de ces souvenirs. La chose entendue elle monta une dernière fois voir son amant pour lui annoncer son départ.
Le mage devint fou, et esseya par tous les moyens de la faire rester. Mais la déva avait déjà choisit, il était temps pour elle de reprendre la route, de plus les derniers éléments qu'elle n'avait pas confier au mage était vitaux et ne devrait etre entendu que par l'archon des brumes.
Le mage la laissa partir finalement mais quelque chose la piqua dans le dos, regardant son estomac celui ci était transpercé d'une leur bleuté qui bascula au noire.

Tes travaux sont à moi femelle, et meme si je ne peux me les appropriés mon fils portera ton âme et disposera de tes pouvoirs, au final j'aurais ce que j'ai souhaité, la puissance des métacomposants est à moi, salope.

Le mage incanta alors et une forme brumeuse prit consistance du néant. Un petit diablotin se matérialisa sur l'épaule du mage incanta avec son maitre de plus belle.

Kraken va me chercher mon fils et fais vite, ou je ne serais pas très content.

Le fils arriva, un nourrisson tout juste né depuis deux jours.
Il incanta son rituel et au moment de finir un hurlement happa une seconde l'attention du mage, le seigneur de Myth dranor venait d'apprendre la disparition, d'une essence magique vitale pour sa cité. Il fit donc mender L'archimage dans l'instant.
Son rituel quasiment terminé il du se résoudre à abandonner son fils là.

L'âme de mayana balaya l'esprit non formé du nourrisson, mais le non accomplissement du rituel ne permit pas d'établir la connexion nécessaire à la mise en place de la totalité de ces facultés.

L'histoire était lancée.