Et la cloche sonnera trois fois.

Tout commença à Lonue Vue, une ville de moyenne importance à seulement 50 kilomètres de Nuln, Laucian avait eu une sacré chance de tomber sur cette femme dans la foret qui chassait. Il est sur que se n'aurait pas été le fait de se perdre qui lui aurait poser un problème mais plus cette maudite tempête de neige qui s'était abbatu sur lui en si peu de temps.

Depuis les dernières tempêtes du chaos il devenait difficile de toute façon de prévoir le temps, même les anciens de son bosquet s'y était résolu. Laucian avait donc pris la route, quelque chose dans son passé ou dans sa vie l'avait amené à partir loin sur la route pour vivre, ... du moins vivre différement. La magie y était certainement pour quelque chose bien sur, mais il ne pouvait pas y avoir que ça.

Enfin de compte perdu dans la foret, il avait eu la chance de croiser Eliana une jeune humaine qui retournait vers Nuln, elle proposa à l'elf de le ramener jusqu'à la ville de Longue Vue pour s'abbriter de la tempête qui faisait rage depuis maintenant deux jours. Eliana n'avait jamais croisé d'elf et elle était surpris que celui ci soit encore vivant après une journée passé seule dans pareil condition.

Les deux bavardèrent et Eliana était ravie du peu que l'elf lui raconta de sa vie. Elle l'emmena dans une taverne près des murs d'enceinte qui portait le nom de "Au coeur de Sigmar". Un nom d'ailleur qui collait à merveille avec le lieu, le patron disait avoir servit dans l'armée en tant que garde du corps d'un prêtre de sigmar, dont il sauva la vie avec courage (perdant un oeil par la meme occasion). Le père n'ayant pu sauver l'oeil de l'homme lui donna une généreuse dote et lui confia l'auberge, du moins c'est ce qu'il racontait. L'ambiance dans l'établissement était chaleureuse et la bière n'était pas une chose qu'on donnait avec radinerie. Les clients étaient pour la pluspart des paysans, des ouvriers et quelques gardes hors de leurs services. Tout le monde discutait au calme, semblant apprécier le crépitement du feu dans la cheminée.

Je discute avec Eliana, essayant de la charmer, jouant sur le fait que je suis un elfe et donc que je suis super et que j'ai trop la classe.
J'essaie d'en savoir plus sur eliana, d'où elle vient, ce qu'elle fait dans la vie, pourquoi elle se rends à Nuln.
D'ailleurs je lui explique que je m'y rends pour avancer dans mon étude sur la magie.

Sinon j'observe le comportement des gens, essayant de m'adapter aux moeurs des humains.

Eliana n'est pas une femme d'une beauté époustouflante, c'est une femme aux traits plutot communs, la seule différence chez elle par rapport à la moyenne des femmes de l'époque et ce caractère "aventurier" et "baroudeur".

La charmée dans un premier temps est assez aisé meme si il est vrai qu'un frein invisible existe à cause de l'animosité raciale existant à cette époque.

Elle t'apprend en tout cas, qu'elle chasse pour se nourrir car cela fait de nombreuses années que ces parents sont décédés d'un hiver rude, qui tua d'ailleur une bonne partie de son village par la maladie. Désormais elle à choisit d'errer au hasard afin de découvrir un petit peu plus que le ValSombre, sa région d'origine. Il parraitrait qu'à Nuln on puisse rêver d'aventure et d'autre chose qu'une simple vie puisse lui offrir alors elle tente sa chance. De toute façon de lien familiaux ne lui reste plus qu'un oncle et une tante avec lesquels elle entretient de bonne relation.

Elle semble par contre à la fois étonné et mal à l'aise quand tu lui parles de ton étude de la magie, elle porte ses doigts en signe de la croix de sigmar. Elle t'explique que ces temps ci les jeteurs de sorts sont assez mal vue dans l'empire depuis de récents évenements. On parle de marque du chaos et de bête mutante.

Les gens de la salle sont des habitués ou du moins des gens du cru. L'ambiance y est cordiale et meme si tu es différent ces gens ne semblent pas te dévisager en permanence comme si voir un elf n'était pas franchement pour eux une premiere.

J'en demande plus sur la marque du chaos et la vision qu'ont les gens du comun sur la magie par ici à Eliana.
Je lui demande aussi quels sont les dangers aux alentours. Et je lui demande aussi si elle n'a pas peu d'errer seule sur les routes comme ça. Moi-même j'aurais bien besoin d'une escorte armée, je n'en suis encore qu'au début de ma formation.

Je parle à voix basse à Eliana, de façon à ce que personne ne l'entende. Je me concentre pour essayer d'écouter les conversations des autres gens et voir si quelque chose d'intéressant en ressort (et rentabiliser mon acuité auditive de super elfe! ^^)

Elle te racontes tout un tas de superstition et de chose qu'on raconte sur la magie et le chaos, des choses qui ont un fond de vérité mais sont pour la plupart éxagéré. En tout cas ce qui dégage de ta conversation c'est cette animosité que tu risques de rencontrer au moins dans les campagnes.

Vous accompagnez sur les routes, ma fois je suis flattée, j'adorerais voir comment vous les elfs vivez, on raconte tant de chose sur vous. Mais ne vous méprennez pas je ne suis pas une soldate de formation, je sais tiré à l'arc mais je n'ai jamais servi dans l'armé. Mais avec vous je sens que les voyages seront bien moins ennuyeux on raconte que les mages vivent toujours des expériences fabuleuses, je vous accompagnerais donc un temps.

Autour de vous, tu perçois tous ses gens qui parlent (jet d'écoute critique). Tu entends un garde parlé avec un de ses collègues que le Fils du bourgmestre serait très agité ses temps ci, il aurait selon le dire des gardes été repéré dans de nombreuses auberges de la ville, à parler avec tout les étrangers. Tu entends parler aussi de nombreux incidents qui se dérouleraient à Marienburg de nature chaotique. Il parraitrait également que Nuln serait en froid avec Kislev quelque chose se serait mal passé pendant la rencontre de l'ambassadeur avec le bourgmestre de Nuln.

J'attends d'être sur de ne plus surprendre d'informations utiles puis je révèle tout ceci a Eliana en lui demandant si elle en sait plus sur tout ceci. Je lui raconte tout ce que j'ai entendu en ne lui précisant pas que je vie de l'entendre dire par les gardes.