ZONE pour thomas

Lénia se réveilla trempée de sueur, quelque chose avait changer pendant la nuit.
Elle regarda autour d'elle pourtant tout était calme, en fait beaucoup trop calme, les autres dormaient paisiblement meme garret semblait réellement dormir.
Puis elle voulut raviver le feu d'une pensée, elle formula quelque mot braquant un doigt élégant vers les flammes, mais rien ne se passa. Croyant s'être trompé elle recommença mais rien ne se produit. Elle fouilla en elle sentant un vent de panique la submerger, et elle comprit où était l'autre dans sa tête.
Où était la voix lancinante qui parlait sans cesse, pour tenter de la corrompre, avait elle enfin gagner, c'était elle enfin libérer de son emprise.
Mais ses pouvoirs où étaient ils passé.

Elle se leva et alors elle entendit un bruit venant de l'est du camp des bohémiens, d'abord un bref appel, puis une serie de cri imposant allant de plus en plus fort.

C'est à toi.

Tremblante, et plus effrayée que jamais par cette sensation nouvelle que de se sentir seule et sans pouvoirs, Lénia récupéra rapidement son bâton, en espérant secrètement que lui serais toujours actif. Elle s'équipa aussi rapidement que ses mains fébriles et tremblantes le lui permirent et vérifia que son grimoire soit bien en place...

- Ou est tu passé bon sang ??
Moi qui désirais me sentir enfin seule depuis si longtemps... je ne peux pas croire que celà se finisse comme ça...

Plus perdue qu'elle ne l'avait jamais été ces derniers temps, Lénia se pinça le bras en espérant qu'elle était sous l'effet de quelques rêves ou envoutements, avant de se diriger vers les bruits qui l'avaient réveillée plus tôt.

Lénia eu beau se pincer, rien n'y fit plus une miette de pouvoir ne s'éveillait en elle, et après tant d'année passé à deux, se retrouver seule lui faisait horriblement peur, elle se dirigea controlant à peine ses tremblements.

Elle avança un peu quittant le camp de quelques mètres, pour distinguer par dessus la butte, un étrange spectacle, du camp des bohémiens venaient d'étranges flammes, elle put distinguer clairement des cris de peur et de terreur, en voyant de loin des formes s'agiter et des hurlements de bête. A cette distance distinguer plus était impossible pour ces yeux humains.

Le spectacle aurait du glacer les sang de n'importe qui... Mais pas de Lénia... Elle semblait errer sans but au milieu de ce champ de bataille, sans but, dans un état second...

Étrangement, malgré la perte de cette moitié et de ses pouvoirs, il lui semblait que cette scène apocalyptique lui était familière...
Elle continua donc de marcher doucement et sur ces gardes, approchant un peu plus pour distinguer et tenter d'identifier ces bêtes.

Lénia avança donc dans la nuit couvert par l'obscurité.
Elle approcha et commença à discerner clairement les agresseurs, c'étaient des humanoîdes à la peau noire, puis elle approcha plus elle pu discerner les traits des attaquants. Quand arriver à une centaine de mètre elle vut leur visage

(jet de perception réussie)
Une trentaine de ces créatures courraient après les bohémiens les labourant ou lançant sur eux des chiens aux airs cadavériques. A une centaine de mètre au milieu de ce carnage tu apperçois un homme (genre émir ou sultan) avec un grand turban blanc serti d'un énorme saphir, ceint sur la tête. Il porte une sorte de djellaba gris bleu, et ne semble pas porter d'arme.

Après avoir eu conscience de tout ceci, tu entends un jappement à une centaine de mètre sur ta gauche et bizarre, tu sens que quelque chose vient vers toi (jet de perception réussie, honteux)

-Et merde ! Bon ma petite, s'il te reste une once de pouvoir c'est le moment essai de sauver ta peau...

Je garde en vue autant que possible le sultan, et je fait face à ce qui m'arrive droit dessus...
J'essai de ressentir quelque chose, une bribe de pouvoir à laquelle je pourrais me raccrocher...

En même temps, je regarde si il n'y aurait pas un objet que je puisse envoyer sur ce qui m'arrive dessus avec la télépathie télékinésie de mon baton... si elle marche. S'il n'y a rien, je recherche un endroit où me planquer...

La chose continue à approcher et un raclement de gorge sèche brise le silence comme un ancien jappement.
Tu sens la magie de ton bâton encore capable de réponde à ton appel. Tu vois des grosses pierres et des morceaux de tronc d'arbre à jeter si tu le souhaites.

La chose commence à courrir elle doit etre à une cinquantaine de mètres de toi (20 cases)

Y aurait t'il un endroit où me planquer ou que je puisse plus aisément défendre dans les environs ?

C'est une foret beaucoup d'arbres t'entourent, les caravanes devant toi permettent un bon camouflage également, quand aux fourrés tu peux aussi t'en servir.

Je vise la caravane La plus proche pour essayer d'avoir un abris partiel.
Je regarde dedans si je ne pourrais pas trouver de l'huile ou de la graisse pour lubrifier les essieux des charettes.
Si j'en trouve j'essaie de les répandre a terre pour que la creature qui me charge dérape et que je puisse la déplacer par télékinésie plus facilement.

S'il n'y a ni huile ni
graisse a essieux, je rentre dans la caravane tout simplement et je vois pour me cacher du mieux que je peux de la charge de la créature.

Lénia courrut aussi vite qu'elle le pu elle escalada les marches avec une aisance folle, la bete sur les talons maintenant elle pouvait clairement disserné une sorte de molosse mi loup mi chien, mort et réanimé qui s'élancait à sa poursuite.

Lénia entra dans la caravane dont elle referma la porte à toute vitesse evitant de peu les crocs de la bete.
A première vue, il n'y avait rien de franchement utile dans cette caravane, a part des fringues, du matériel de cuisine, une lampe éteinte, et deux fenetres, dont une partiellement brisé (je te joins le plan).

La bete percuta la porte qui trembla quelques instants, lachant un aboiement franchement peu audible lénia entend la bete tourné autour de la caravane.

Essayant de reprendre mon calme je tente de rassembler mes esprit pour trouver un moyen ou un élément auquel cette horreur serait vulnérable.

(Jet de connaissance peut être? )

Sinon je regarde la lampe, et je cherche des réserves d'huiles supplémentaires. Je tente de me fabriquer une sorte de cocktail molotov perso...

(fait chier j'arrive plus à enregrister d'images sur le fofo ... je te l'envoie par mail.)

Bon jet de connaissance réussie, l'animal est un animal mort vivant, il est donc sensible au feu (un peu), aux dégats radiants (bcp). A part ça des bons coups en pleines tete.

A défaut d'huiles tu trouves par contre ce qui semble être une bouteille d'alcool fort que tu parviens facilement à transfomer en cocktail molotov improvisé.

La bête continue à gronder et redonne un énorme coup de tête dans la porte de la roulotte qui vascille mais semble encore tenir.

Voici le plan que tu m'a envoyé



Bien, je prend de quoi l'allumer façon mortelle ... soit un silex ou une bougie, puis je sort par la fenêtre du haut oposée a celle qui donne sur le campement pour grimper sur le toit de la caravane pour envoyer le tout sur la bête en visant du mieux possible.

- Espèce de salopard tu as bien choisis ton moment pour m'abandonner ! Mais ce n'est pas grave, j'ai la peau dure je m'en sortirais sans toi !

Le molosse s'élance encore une fois percutant la porte, Lénia s'active comme une dératée, arrivant enfin à faire naitre une flamme, "par chance", le torchon du cocktail prend feu, lénia ouvre la fenetre passe la tete, monter avec un cocktail risque d'être difficile (du moins avec le cocktail en main) elle voit tout à coup la bête et lui balance le projectile qui s'écrase à seulement quelques centimètres de la chose, mettant feu à son pellage. La bête meurt quasiment sur le coup. (gros chanceux va)

- une bonne chose de faite. Certains en bas doivent encore m'avoir à la bonne...

Je sort en courant de la caravane, et je passe par les fourrés pour me diriger vers le feu de camp.

Cependant, maintenant que je sais que j'ai a faire a des morts vivants, je prend mes précautions. Selon moi ils ne se repèrent qu'a la chaleur corporelle, du coup j'en profite durant mes déplacements pour me cacher du mieux que je le peux derrière des rochers ou des caravanes pour me faire repérer le plus tard possible. (discrétion +10)

Allez un petit coup de pouce supplémentaire ne serait pas de trop... Je dois découvrir pourquoi mes pouvoirs ont soudainement disparus...

Alors que tu t'infiltres sans problème (ça m'énerve) tu arrives à une cinquantaine de mêtres du mec bizarre. Qui tu ne l'avais pas vu est suivit par une sorte de créature mécanique portant sur ce qui lui sert de tête une énorme opale rayonnant d'un bleu pâle.

Le mec bizarre assis en tailleur devant les cadavres, semble ne pas faire attention à toi et invoque une lithuanie (jet d'arcane échec) d'où tu peux appercevoir un flot d'énergie négative envahir les corps morts.

Quand tout à coup (perception réussie), tu entends derrière toi un bruit de pas, en te retournant tu vois un maccabé de bohémien debout tel un zombie avancer vers toi presque sans bruit.

Bordel je ne pensais pas que mes pouvoirs me manqueraient à ce point là...

Je ferme les yeux quelques secondes pour voir si par hasard il ne me reste pas une étincelle de pouvoir à laquelle me raccrocher, puis je me lance finalement à l'attaque avec mon bâton...

Je tente de faire trébucher le zombie et bloquant ses jambes avec mon bâton (pas forcément à faire du dégât juste le faire tomber)
J'utilise mon bâton magique pour ça.
Bâton magique +1 : +7 toucher +2 dégâts (+2CA jusqu'à la fin du round 1/rencontre + télékinésie portée 10cases déplace de 2cases 1/jour )

D'un superbe mouvement lénia examine le zombie, détache son baton et se servant de l'élan balance un coup sensationnel (critique) qui dans un craquement renverse le zombie et broit le genou gauche du zombie qui tombe au sol.
Néanmoins la bête déjà morte rampe vers toi et tente de t'aggriper (rater de 1 snif) pour t'attraper la cheville.

Tu arrives donc à te dégager et à te remettre un petit peu à distance.

Tes pouvoirs (personne ne répond pour le moment).

(hé hé tu m'as baisé mes powers mais la chance est avec moi Dark MJ :p )

Je m'écarte avec dégout de la carcasse, et je me prépare à viser la tête de la créature de mon bâton pour tenter de l'achever. Je tente de lui broyer le crâne pour qu'elle trouve le repos, en faisant attention a ne pas me laisser agripper autant que possible.
(+7 toucher +2 dégâts au bâton)

Lénia frappa de toute ses forces la bête, le coup percuta l'épaule qui visiblement sembla ne guère subir plus de dégâts que cela (jet d'attaque raté).
Malgré le choc la bête dans un ral s'agrippa au baton afin de destabiliser la magicienne, celui ci tira d'un coup sec jetant au sol la belle qui ne s'attendait pas à cela. Le zombie se porta alors avec une vélocité incroyable au dessus d'elle et tenta de s'approcher pour la mordre mais elle était encore bien trop romuante.

Bordel je vais pas finir bèquetée dans l'estomac d'un zombie !

Je tente de me dégager moi et mon bâton. Je sort ma dague et lui entaille les doigts pour cela s'il faut.

De toutes ces forces Lénia lutte mais être sous le zombie allié à une maigre force n'aide pas énormément la sorcière habitué à dominer avec ces pouvoirs.

Elle se débat malgré tout et ne parviens pour le moment qu'à tenir à distance la chose. Pour l'instant elle n'a pas réussit à prendre le dessus et l'idée de lacher les épaules du zombie n'est guère envisageable saug si l'envie lui prenait de se faire dévorrer.

Je tente de me dégager en jetant le zombie qui est sur moi sur le cote... Autant que possible je fait tout pour ne pas être mordu...
Puis je au pire agriper mon bâton?

( dur dur de faire sans biscotos )

Lénia était survelloté, elle n'avait pas assez de force et pas l'avantage pour jeter le zombie à terre, elle parvint malgré tout en se débattant, et se faisant mordre par le zombie (8 PVs) à toucher son bâton si elle le souhaite (sans trop souffrir).